Pages

mercredi 16 mars 2011

Critique de M. rachid Fettah au sujet de "Des espoirs en spirale" de Driss louiz


« Le poète n’est pas un homme à part, il est le plus homme de tous les hommes, c’est parce que la plupart des hommes ne sont plus des hommes ou ne le sont pas encore assez qu’ils méconnaissent le poète. L’artiste, le poète est partout. » Cette phrase profondément expressive est celle de l’écrivain français C.F.Ramuz (1878-1947). Par ces propos, l’auteur souligne à grands traits l’idée de l’omniprésence du poète et la permanence de la poésie.

Et Driss Louiz, en publiant son recueil « des espoirs en spirale », s’inscrit dans cette omniprésence et permanence du poète et de la poésie, il veut laisser entendre les échos d’une voix fraichement poétique et fertilement prometteuse. Ces « Poèmes-espoirs en spirale »s’avèrent, aux âmes sensibles des esthètes, une singulière invitation au voyage à travers des mers sans rivages, des pages et des pages, un étendu semé de mots et d’images. Mais, en lisant et relisant « Des espoirs en spirale », il m’avait été difficile ne pas entendre, en sublimes échos, venant de loin, de trop loin, de l’au-delà …le souffle poétique koffelien.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire